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Classement des États d'Océanie par forces aériennes militaires (bombardiers, avions, hélicoptères, drones et satellites militaires)

Par Atlasocio.com | Mis à jour le 18/03/2023

 

Les États d'Océanie possédant les plus importantes forces militaires aériennes sont l'Indonésie, l'Australie, et la Nouvelle-Zélande. Les pays océaniens comptant le moins d'aéronefs militaires (avions, hélicoptères, drones) sont les Tonga, les Fidji et la Papouasie-Nouvelle-Guinée.


Classement par zone géographique


Puissance faible                                                  Puissance élevée

Classement des États d'Océanie par forces aériennes militaires en 2022

Estimations Atlasocio.com d'après les données de l'International Institute for Strategic Studies (The Military Balance 2023).
Rang État ou territoire Nombre d'aéronefs et/ou d'appareils Total
(appareils aériens sans pilote) [6]
Avions de combat [1] Autres avions [2] Hélicoptères
de combat [3]
Autres hélicoptères [4] Satellites [5]
© Atlasocio.com
Indonésie 61 243 25 183 0 512
(2)
Australie 92 155 46 112 1 406
(15)
Nouvelle-Zélande 3 22 8 13 0 46
(0)
Papouasie-Nouvelle-Guinée 0 3 0 3 0 6
(0)
Fidji 0 0 0 0 0 0
(0)
Tonga 0 0 0 0 0 0
(0)
Note(s) :
[1] Comprend les bombardiers, les avions de chasse (chasseurs ou avions de suprématie aérienne), les avions de combat multirôles (ou chasseurs-bombardiers) et les avions d'assaut (ou avions d'attaque au sol) ainsi que les avions de lutte anti-sous-marine et les avions de lutte anti-surface.
[2] Comprend les avions de transport, les avions de recherche et sauvetage en zone de combat (Combat Search and Rescue, CSAR), les avions de recherche et sauvetage (Search and Rescue, SAR), les avions de guerre électronique (EW), les avions de surveillance et de reconnaissance (ISR), les avions de combat, d'intelligence, de surveillance et de reconnaissance (CISR), les avions de renseignements électroniques, de communication ou électromagnétiques (ELINT, COMINT, SIGINT), les avions de logistique/soutien (alerte avancée aéroportée, ravitaillement en vol, transport léger, reconnaissance armée, soutien du champ de bataille, entraînement et formation des pilotes...).
[3] Comprend les hélicoptères d'attaque (ou hélicoptère de combat) et les hélicoptères de lutte anti-sous-marine et/ou de lutte anti-surface.
[4] Comprend les hélicoptères multirôles (MRH), les hélicoptères de transport, les hélicoptères de recherche et sauvetage en zone de combat (CSAR), les hélicoptères de recherche et sauvetage (SAR), les hélicoptères de guerre électronique (EW), les hélicoptères d'intelligence, de surveillance et de reconnaissance (ISR), les hélicoptères de combat, d'intelligence, de surveillance et de reconnaissance (CISR), les hélicoptères de renseignements électroniques, de communication ou électromagnétiques (ELINT, COMINT, SIGINT), les hélicoptères de logistique/soutien (alerte avancée aéroportée, ravitaillement en vol, transport léger, reconnaissance armée, soutien du champ de bataille, entraînement et formation des pilotes...).
[5] Comprend les satellites militaires de reconnaissance (ou satellite espion), les satellites militaires d'alerte précoce, les satellites militaires de télécommunications, et les satellites militaires de navigation.
[6] Du fait de leur importance croissance lors des derniers conflits militaires, Atlasocio.com indique également à titre indicatif une estimation du nombre d'appareils aériens sans pilote (appelés communément « drones » ou UAV), et ce, toutes missions confondues. Cette estimation n'est pas comprise dans le résultat total du nombre d'aéronefs militaires en raison d'un manque et/ou absence de données chiffrées pour plusieurs armées nationales.