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Sources et définitions des indicateurs statistiques utilisés au sein des publications d'Atlasocio.com. Pour toute demande ou information complémentaire, merci de nous contacter en cliquant ICI.
Atlasocio.com utilise une gamme de couleurs afin de percevoir rapidement les performances ou difficultés d'un État à propos d'une thématique précise.
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Atlasocio.com propose une description du drapeau national. En effet, les couleurs et les symboles ont un sens précis selon les orientations politiques, socio-culturelles ou religieuses. Aussi, l'approche vexillologique permet d'appréhender l'héritage idéologique d'un État donné, et notamment les faits saillants de son histoire.
Sources : Constitutions nationales ; administration de la Défense (service océanographique de la marine, musée de l'armée), etc.
La première carte indique la topographie du pays. La deuxième carte indique les principales villes, fleuves et montagnes. Sont également indiquées les longueurs des frontières terrestres avec les États voisins.
■ Les cartes de type planisphère ont été élaborées par Atlasocio.com, toute modification est interdite. En cas d'utilisation, la source doit être expressément mentionnée.
■ Les cartes politiques présentes sur les fiches des États sont entrées dans le domaine public et sont issues du World Factbook 2013-14. Washington, DC: Central Intelligence Agency, 2013. Domaine public.
■ Les cartes topographiques présentes sur les fiches des États sont issues de la médiathèque en ligne d'images sous licence libre Wikimedia Commons. Lorsque les informations relatives aux auteurs sont clairement précisées, Atlasocio.com s'engage à les mentionner.
■ Les frontières, dénominations et autres informations indiquées sur les cartes et fiches statistiques n’impliquent de la part d'Atlasocio.com aucune prise de position quant au statut juridique d'un État ou territoire donné, ni l’approbation ou l’acceptation de ses frontières ou limites.
Une courte présentation précise le nom officiel de l'État ou du territoire concerné, ainsi que sa position géographique. Atlasocio.com propose une brève synthèse de l’histoire du pays en s’efforçant d’éviter autant que faire se peut les interprétations spéculatives ou idéologiques. Par conséquent, la citation des faits dépend des sources historiques disponibles.
La superficie totale d'un État désigne les terres et les eaux intérieures du territoire national. Les mers territoriales, zones contiguës et les zones économiques exclusives ne sont pas incluses.
Source : United Nations Statistical Division (UNSD). Note : Insee pour le cas de la France.
Indique l'occupation des terres en pourcentage de l'ensemble du territoire national.
- Terres arables : Les terres arables comprennent les terres définies par la FAO comme étant des cultures temporaires – les terres à deux cultures ne sont comptées qu'une fois – les prés temporaires pour le fauchage ou pour le pâturage, les potagers, et les terres temporairement en jachère. Les terres abandonnées en raison d'une culture itinérante sont exclues de ce calcul.
- Cultures permanentes : Les terres cultivées de manière permanente sont des terres occupées par des cultures pour de longues périodes et qui doivent être replantées après chaque récolte (exemple : cacao, café, caoutchouc). Cette catégorie comprend également les terres sur lesquelles poussent des arbustes à fleurs, des arbres fruitiers, des arbres à noix et des vignes. Les terres sur lesquelles poussent des arbres destinés à faire du bois ou du bois d'œuvre sont exclues de ce calcul.
- Pâturages permanents : Les terres en pâturage de manière permanente désignent les terres utilisées pendant cinq années ou plus pour le fourrage, notamment les cultures naturelles et cultivées.
- Surface forestière : Les régions forestières sont des terres naturelles ou plantées abritant des arbres d’au moins 5 mètres in situ, qu’elles soient productives ou pas. Les zones boisées des systèmes de production agricole (plantations fruitières, systèmes d’agrosylviculture), les surfaces relatives aux arbres des parcs et aux jardins urbains sont exclues de ce calcul.
- Autres : La catégorie « autres » désigne les terres désertiques et/ou arides, les zones montagneuses inutilisées pour les catégories explicitées précédemment, ainsi que les zones bâties (villes, infrastructures diverses, etc.).
Source : Food and Agriculture Organization of the United Nations.
Sont indiqués le plus haut sommet et le plus long fleuve traversant en partie ou en totalité le territoire national.
Sources : Encyclopædia Britannica ; Geological Society of London ; Rutgers University Department of Physics and Astronomy ; Instituts nationaux de statistique ; ouvrages de référence.
La population d'un État désigne l'ensemble des personnes physiques qui résident sur le territoire national, durablement ou temporairement, et indépendamment de sa nationalité et/ou de son statut administratif [définition : Atlasocio.com].
Sources : Instituts nationaux de statistique ; ONU ; The World Factbook, CIA.
La densité absolue est le quotient de la population d'un État par sa superficie.
L'âge médian est l'âge « x » tel qu'il divise une population en deux groupes d'effectifs égaux, l'un composé uniquement des individus d'âge supérieur à « x », l'autre des individus d'âge inférieur à « x ». Ainsi, l'âge médian partage la population d'un État en deux moitiés égales : celle au-dessus et celle au-dessous de la mesure.
Source : Department of Economic and Social Affairs, Population Division, United Nations.
La croissance démographique désigne l'augmentation de l’effectif d’une population au cours d’une période donnée, soit la somme du solde naturel et du solde migratoire. Le taux d’accroissement annuel est le rapport entre la variation de la population au cours d’une année et son effectif au milieu de l’année.
Sources : Instituts officiels nationaux ; UNSTAT ; OCDE.
L'indice de fécondité ou taux de fécondité désigne le nombre moyen d'enfants par femme en âge de procréer (à ne pas confondre avec le taux de natalité). Par extension, « le taux de fécondité est le rapport du nombre de naissances vivantes de l'année à l'ensemble de la population féminine en âge de procréer (nombre moyen des femmes de 15 à 50 ans sur l'année) » [définition : Insee].
Sources : Instituts officiels nationaux ; UNSTAT ; OCDE ; Banque mondiale.
« Le taux de natalité indique le nombre de naissances vivantes pour 1 000 habitants au cours d'une année. Le taux d'accroissement naturel s'obtient en soustrayant le taux de mortalité du taux de natalité, soit l'évolution d'une population donnée, et ce, indépendamment des données relatives au solde migratoire. » [définition : Atlasocio.com].
Sources : ONU ; Eurostat ; Instituts nationaux officiels de statistique ; Banque mondiale.
« Le taux de mortalité indique le nombre de décès pour 1 000 habitants au cours d'une année. Le taux d'accroissement naturel s'obtient en soustrayant le taux de mortalité du taux de natalité, soit l'évolution d'une population donnée, et ce, indépendamment des données relatives au solde migratoire. » [définition : Atlasocio.com]
Sources : ONU ; Eurostat ; Instituts nationaux officiels de statistique ; Banque mondiale.
Le solde migratoire ou migration nette est « la différence entre le nombre de personnes qui sont entrées sur le territoire et le nombre de personnes qui en sont sorties au cours de l'année. Ce concept est indépendant de la nationalité » [définition : Insee]. Ainsi, le solde migratoire est égal au nombre total d'immigrants moins le nombre total d'émigrants d'un État ou territoire au cours d'une période donnée, comprenant à la fois les citoyens (« nationaux ») et les non citoyens.
Afin d'obtenir des estimations de la migration nette, la division de la population des Nations unies tient compte de l'histoire migratoire antérieure d'un État ou d'une région, de la politique migratoire d'un État et de l'afflux de réfugiés au cours des périodes récentes. Les données permettant de calculer ces estimations proviennent notamment des statistiques frontalières, des dossiers administratifs, des enquêtes et des recensements. Lorsqu'aucune estimation officielle n'est disponible, la migration nette est définie à partir de la différence entre la croissance globale de la population et l'accroissement naturel de la population au cours de la période entre deux recensements.
Source : United Nations Department of Economic and Social Affairs.
Le taux de migration net est le rapport entre le solde migratoire et la population moyenne d'un État ou d'un territoire donné. Cet indicateur démographique est généralement exprimé pour 1 000 habitants (‰).
Calcul du solde migratoire (‰) :
N = (I - E) / M X 1000
N = solde migratoire
I = Nombre d'immigrants entrant dans la zone
E = Nombre d'émigrants quittant la zone
M = Population totale en milieu d'année
Source : United Nations Department of Economic and Social Affairs.
Il s'agit du pourcentage de la population totale qui vit dans un milieu défini comme urbain. Les définitions peuvent toutefois varier selon les pays.
Source : ONU.
Une agglomération urbaine ou unité urbaine est une catégorie statistique qui désigne empiriquement un territoire défini par la continuité de l'habitat ou du bâti.
Une aire urbaine ou grande aire urbaine est un « ensemble de communes, d'un seul tenant et sans enclave, constitué par un pôle urbain (unité urbaine) de plus de 10 000 emplois, et par des communes rurales ou unités urbaines (couronne périurbaine) dont au moins 40 % de la population résidente ayant un emploi travaille dans le pôle ou dans des communes attirées par celui-ci » [définition : Insee].
A noter que les appellations agglomération urbaine ou aire urbaine ne correspondent à aucune circonscription administrative légale, raison pour laquelle les définitions statistiques varient selon les États.
La langue officielle est la langue explicitement mentionnée dans la constitution ou les textes de loi d'un État, imposée à tous les services officiels de l'État (organes de gouvernement, administrations, tribunaux, registres publics, documents administratifs, etc.), ainsi qu'à tous les établissements privés qui s'adressent au public. Les langues parlées indiquées par Atlasocio.com désignent les langues autochtones ou minoritaires non reconnues officiellement.
Sources : Instituts officiels nationaux ; Instituts internationaux ; Instituts Universitaires.
Une ethnie est un « groupement humain qui possède une structure familiale, économique et sociale homogène, et dont l'unité repose sur une communauté de langue, de culture et de conscience de groupe » [définition : Larousse]. Parfois, le résultat total est supérieur à 100%, certaines personnes déclarant appartenir à plusieurs ethnies.
Sources : Instituts officiels nationaux ; Instituts internationaux, Instituts Universitaires.
Croyance : « Fait de croire à l'existence de quelqu'un ou de quelque chose, à la vérité d'une doctrine, d'une thèse : La croyance en Dieu, aux fantômes. Ce qu'on croit ; opinion professée en matière religieuse, philosophique, politique : Respecter toutes les croyances » [définition : Larousse].
Religion : « Ensemble déterminé de croyances et de dogmes définissant le rapport de l'homme avec le sacré. Ensemble de pratiques et de rites spécifiques propres à chacune de ces croyances » [définition : Larousse].
Atlasocio.com s'appuie sur des données déclaratives, ainsi le résultat total est parfois supérieur/inférieur à 100%, certains sondés déclarant croire en plusieurs dogmes ou refusant de s'exprimer.
Sources : Instituts officiels nationaux ; Instituts Universitaires ; Organismes de recherche (Pew Research Center, Latinobarómetro, etc.) ; The World Factbook, CIA.
Le régime politique fait référence à la manière dont le pouvoir est organisé et exercé au sein d'une entité politique donnée.
La capitale d'un État désigne une ville où siègent généralement les pouvoirs nationaux. Cependant, dans certains pays, la capitale constitutionnelle n’est pas le siège des institutions (exemple : Afrique du Sud, Pays-Bas). Ainsi, Atlasocio.com distingue parfois capitale juridique, administrative, législative, économique voire "revendiquée" comme cela est le cas pour la ville de Jérusalem.
Le FirePower index tente de déterminer la puissance militaire d'un État. Il repose sur plus de 50 indicateurs dont: le nombre total d'armes disponibles, la diversité/capacité de la force de frappe (celle d'un sous-marin n'étant pas équivalente à celle d'un porte-avion par exemple), les effectifs militaires, les facteurs géographiques (les États enclavés ne sont cependant pas pénalisés faute de forces navales), la flexibilité logistique, les ressources naturelles, l'industrie locale, la main-d’œuvre disponible, les alliances militaires (ex: OTAN), etc. À noter que si les stocks d'armes nucléaires ne sont pas pris en compte, les puissances nucléaires reconnues/soupçonnées reçoivent toutefois un «bonus». Enfin, l'influence diplomatique n'est pas intégrée à l’analyse.
Source : GlobalFirepower.com.
En raison de ses effets, l'arme nucléaire est considérée comme une arme non conventionnelle, et comme une arme de dissuasion (politique de dissuasion nucléaire), visant à empêcher toute attaque majeure, qui serait sanctionnée par l'utilisation de cette arme. Inversement, l'impact psychologique potentiel d'une arme nucléaire en fait une cible de choix pour des mouvements terroristes. Des accords internationaux visent à réduire l'arsenal nucléaire et à limiter la prolifération nucléaire.
Sources : Stockholm International Peace Research Institute (SIPRI) ; Federation of American Scientists: Status of World Nuclear Forces.
Indique le nombre de troupes régulières d'un État. Afin de connaître la capacité militaire totale, les réservistes et les forces paramilitaires sont également comptabilisés.
Source : Institut international d'études stratégiques de Londres (IISS).
La conscription ou le service militaire obligatoire est la réquisition par un État d'une partie de sa population afin de servir ses forces armées.
Sources : Législations nationales ; The World Factbook, CIA.
Le Global Peace Index ou indice de pacifisme vise à classer les États du monde selon leur degré de pacifisme, mesuré à partir de 23 indicateurs dont : l'étendue de l'implication des États dans les conflits locaux et internationaux, les dépenses militaires, le degré d'harmonie ou de discorde à l'intérieur d'une nation, le taux de criminalité, le nombre d'actes terroristes ou de manifestations violentes, les relations harmonieuses ou non avec les États voisins, la stabilité politique, la proportion de la population interne déplacée/réfugiée. Plus le score est bas et plus le degré de pacifisme est élevé.
Source : Institute for Economics and Peace en collaboration avec le Centre for Peace and Conflict Studies (Université de Sydney, Australie).
Le Global Terrorism Index ou indice de terrorisme tente de mesurer les effets à long terme de l'impact du terrorisme en attribuant à chaque État une valeur correspondant à la moyenne des données liées aux attentats terroristes sur les cinq dernières années. Les quatre facteurs pris en compte sont :
▶ Nombre total d'incidents terroristes au cours d'une année donnée ;
▶ Nombre total de décès attribuables à des terroristes au cours d'une année donnée ;
▶ Nombre total de blessés causés par des terroristes au cours d'une année donnée ;
▶ Mesure des dommages matériels totaux causés par des incidents terroristes d'une année donnée.
Source : Institut for Economics and Peace en collaboration avec le National Consortium for the Study of Terrorism and Responses to Terrorism (Université du Maryland, États-Unis).
L’indice de démocratie tente d’appréhender le niveau de démocratie d'un État donné. Le calcul se base sur 60 indicateurs regroupés en cinq catégories : le processus électoral et le pluralisme, les libertés civiles, le fonctionnement du gouvernement, la participation politique, la culture politique. L’indice obtenu, compris entre 0 et 10, permet une classification des pays selon quatre régimes : démocratie, démocratie imparfaite, régime hybride, régime autoritaire.
Source : The Economist Intelligence Unit.
La liberté de la presse est l'un des principes fondamentaux des systèmes démocratiques qui repose sur la liberté d'opinion et la liberté d'expression. La note, définie sur une échelle de 0 (la meilleure) à 100 (la plus mauvaise), indique la liberté de la presse d'un État donné en prenant en compte les atteintes à la liberté d’informer.
Source : Reporters Sans Frontières.
L'avortement est l'interruption, volontaire (IVG ou IMG) ou non, d’une grossesse (gestation) avant terme.
Source : Législations nationales.
Euthanasie : pratique (action ou omission) visant à provoquer — particulièrement par un médecin ou sous son contrôle — le décès d'un individu atteint d'une maladie incurable qui lui inflige des souffrances morales ou physiques intolérables.
Suicide assisté : désigne l'acte de fournir un environnement et des moyens nécessaires à une personne pour qu'elle se suicide. Le suicide assisté est différent de l'euthanasie : c'est le « patient » lui-même qui déclenche sa mort et non un tiers.
Source : Législations nationales.
La peine de mort ou peine capitale est une peine prévue par la loi consistant à exécuter une personne ayant été reconnue coupable d'une faute qualifiée de « crime capital ». La sentence est prononcée par l'institution judiciaire à l'issue d'un procès. Atlasocio.com a opéré une classification selon 5 niveaux : abolie pour tous les crimes, abolie sauf pour crimes commis en temps de guerre, légale mais non appliquée depuis au moins dix ans (ou moratoire officiel), moratoire récemment rompu, légale et appliquée.
Sources : Législations nationales ; Ministère français des Affaires étrangères ; Amnesty international.
Un homicide est l'action de tuer un autre être humain. Dans la majorité des sociétés, l'acte d'homicide est considéré comme l'un des crimes les plus graves pouvant être commis. Le taux d'homicide volontaire indique le nombre d'homicides par an pour 100 000 habitants. A noter que les homicides engendrés par les conflits armés ou troubles civils ne sont pas comptabilisés. De plus, la fiabilité des données concernant les homicides peut varier selon les États et donc selon leur définition d'homicide volontaire qui peut inclure ou non l'euthanasie, ou bien encore l'infanticide.
Source : United Nations Office on Drugs and Crime.
Le taux d'incarcération est le nombre — exprimé pour 100 000 habitants — de personnes détenues en prison rapporté à la population totale.
Sources : International Centre for Prison Studies & Institute for Criminal Policy Research ; United Nations Office on Drugs and Crime.
Tolérance religieuse : « Notion qui définit la capacité/attitude d'un individu à accepter une chose qui lui est inconnue, incompréhensible ou avec laquelle il n'est pas en accord. Ainsi, la tolérance religieuse mesure l'attitude des différentes religions entre elles ou d'un individu croyant ou non croyant face à une religion » [définition Atlasocio.com].
Deux indicateurs ont été retenus : les restrictions gouvernementales et les hostilités sociales relatives à la liberté de culte.
Source : Pew Research Center’s Forum on Religion & Public Life.
Le World Happiness Report ou « Rapport mondial du Bonheur » tente de mesurer le bonheur des citoyens au sein de chaque État. Plusieurs indicateurs sont pris en compte : le PIB par habitant, l'aide sociale (logement, allocations, etc.), l'espérance de vie en bonne santé, la liberté relative aux choix de vie, la générosité, la perception de la corruption au sein du gouvernement et des entreprises.
Source : United Nations Sustainable Development Solutions Network.
« Le taux de suicide est défini comme les décès consécutifs à un acte délibéré accompli par une personne qui en connaissait parfaitement ou en espérait l'issue fatale. La comparabilité internationale des données y afférentes est affectée par un certain nombre de critères de déclaration, dont la façon dont est vérifiée l'intention de se donner la mort, les personnes chargées d'établir le certificat de décès, la réalisation ou non d'une enquête médico-légale, et les dispositions relatives à la confidentialité de la cause du décès. Une certaine prudence s'impose donc dans l'interprétation des différences entre pays » [définition : OCDE]. Le taux de suicide est exprimé en nombre de décès pour 100 000 habitants au cours d'une année.
Source : OMS.
Conjugalité : Dans son sens courant la conjugalité est définie comme « État de conjoint ; vie conjugale ». Dans le domaine du droit et de la sociologie, cette notion englobe toutes les réalités concernant la situation d'un couple, quelle que soit sa forme.
Aucun jugement n'est porté sur le bien-fondé des différentes normes sociétales. Ainsi, le droit des homosexuels ou la pratique de la polygamie apparaissent indistinctement soit de couleur verte s'ils sont acceptés/tolérés, soit de couleur rouge s'ils sont interdits/punis par la loi.
Source : Législations nationales.
Le taux de divorce est le « rapport du nombre de divorces prononcés dans l'année à la population totale moyenne de l'année » [définition : Insee].
Formule :
taux de divorce = (nombre de divorces / population totale moyenne) x 1 000
Sources : UNSTAT ; Eurostat, Instituts nationaux officiels de statistique.
« Le taux de divortialité est le rapport du nombre de divorces prononcés au nombre de mariages contractés dans l'année au sein d'une population donnée. » [Définition : Atlasocio.com]. Par exemple, si 550 divorces et 1 000 mariages sont prononcés au cours d'une année au sein d'une population donnée, le ratio est d'environ un divorce pour deux mariages, soit 55 %. À noter que cette mesure compare deux populations différentes – celle qui se marie et celle qui divorce – et non le pourcentage de mariages se soldant par un divorce.
Formule :
taux de divortialité = (nombre de divorces / nombre de mariages) x 1 000
Sources : UNSTAT ; Eurostat, Instituts nationaux officiels de statistique.
Le niveau de sécurité des femmes comprend 5 niveaux : "très faible" ou niveau de sécurité grave (sanctions gouvernementales inexistantes ou très peu suivies), niveau de sécurité "faible", niveau de sécurité "moyen", niveau de sécurité "élevé", niveau de sécurité "très élevé" (femmes en totale sécurité).
Source : WomanStats Project.
Proportion de femmes déclarant avoir été victimes de violences physiques ou sexuelles.
Sources : UNICEF ; International Museum of Women ; European Union Agency for Fundamental Rights.
Pourcentage de femmes et d'hommes âgés de 15 à 49 ans qui pensent qu’un mari est en droit de frapper ou de battre son épouse dans au moins l’un des cas suivants : si elle brûle le repas, se dispute avec lui, sort sans le lui dire, néglige les enfants ou refuse d’avoir des rapports sexuels. Pour les fiches des États, Atlasocio.com indique la moyenne des deux sexes.
Source : UNICEF.
Pourcentage d'enfants âgés de 2 à 14 ans à qui l’on impose la discipline par la violence (agression psychologique et/ou châtiments corporels).
Source : UNICEF.
Pourcentage de femmes âgées de 20 à 24 ans qui se sont mariées ou vivaient maritalement avant l’âge de 18 ans.
Source : UNICEF.
Pourcentage d’enfants âgés de 5 à 14 ans qui avaient un travail au moment de l’enquête. Un enfant est considéré comme se livrant au travail des enfants dans les cas suivants : enfants de 5 à 11 ans qui, pendant la semaine précédant l’enquête, se sont livrés à une activité économique pendant au moins une heure ou ont effectué des corvées ménagères pendant au moins 28 heures et enfants de 12 à 14 ans qui, pendant la semaine précédant l’enquête, se sont livrés à une activité économique pendant au moins 14 heures ou ont effectué des corvées ménagères pendant au moins 28 heures.
Source : UNICEF.
Le Global Age Watch permet de faire un bilan de la situation des personnes âgées de 60 ans et plus à travers le monde, soit notamment d’établir le classement des pays où il fait le mieux vivre pour les seniors.
Source : HelpAge International.
Le taux d'alphabétisation prend en compte le nombre d'adultes et d'adolescents de plus de 15 ans qui savent lire et écrire.
Source : UNESCO.
L'espérance de vie scolaire est « un indicateur synthétique de l'accès à l'éducation, puisqu'il additionne les niveaux primaire, secondaire et tertiaire. C'est le nombre probable d'années qu'un enfant est appelé à passer dans le système scolaire et universitaire, y compris les années de redoublement » [définition : Encyclopædia Universalis].
Source : UNESCO.
Le taux net de scolarisation correspond au quotient de la population scolarisée et ayant l’âge officiel d’une scolarisation par rapport à la population scolarisable ayant l’âge officiel d’une scolarisation. Par exemple, le taux net de scolarisation au primaire correspond aux effectifs du groupe d’âge officiel au niveau primaire (soit les 6-10 ans pour le cas de la France) exprimé en pourcentage de la population dans cette classe d’âge. Contrairement au taux brut, le taux net de scolarisation ne peut pas être supérieur à 100%.
Source : UNESCO.
Le SCImago Country Rank, développé par le groupe de recherche SCImago, indique le nombre, la qualité et/ou l'influence des documents scientifiques publiés au sein d'un État ou territoire au cours d'une année/période donnée.
Source : SJR Country Ranking, SCImago, Consejo Superior de Investigaciones Científicas.
Indique le nombre d'universités de l'État classées parmi les 500 premières mondiales selon le classement académique des universités mondiales (Academic Ranking of World Universities ou ARWU), publié par l'Université Jiao Tong de Shanghai en Chine. Les universités sont classées selon six critères : le nombre de prix Nobel et médailles Fields, le nombre de chercheurs les plus cités dans leur discipline, le nombre de publications dans les revues scientifiques Nature et Science, le nombre de chercheurs répertoriés dans le Science Citation Index-Expanded (SCIE) et le Social Science Citation Index (SSCI), et la « performance moyenne » des professeurs.
Source : Jiao Tong University of Shanghai.
Désigne la monnaie officielle sur le territoire d'un État donné.
Une ressource naturelle est une substance, un organisme, un milieu ou un objet présent dans la nature et qui fait l'objet d'une utilisation afin de satisfaire les besoins des humains (énergies, alimentation, agrément, etc.). Il peut s'agir :
▶ d'une matière première minérale (minerais métalliques, granulats, etc.)
▶ d'un produit d'origine sauvage (bois, poisson, etc.) ;
▶ d'une matière organique fossile (pétrole, charbon, gaz naturel, lignite, etc.) ;
Source : The World Factbook, CIA.
Le PIB (indiqué en millions de dollars américains) mesure la valeur de l'ensemble des biens et services produits sur le territoire d'un État donné au cours d'une période donnée (une année pour Atlasocio.com), quelle que soit la nationalité des producteurs présents sur ce territoire. Ne pas confondre le PIB avec le produit national brut (PNB) qui mesure quant à lui l'ensemble des richesses créées à travers le monde par les acteurs économiques de même nationalité.
Sources : Banque mondiale ; ONU.
La croissance du PIB désigne la variation positive/négative de la production de biens et de services marchands dans une économie d'une année civile sur l'autre.
Source : Banque mondiale ; ONU.
Le PIB par habitant est le quotient du PIB nominal d'un État par la population résidant sur le territoire national.
Source : Banque mondiale ; ONU.
▶ Les dépenses publiques en éducation (% du PIB) comprennent : les dépenses publiques relatives aux établissements d'enseignement (publics et privés) et à l'administration de l'éducation, ainsi que les subventions à des entités privées (étudiants/ménages et autres entités privées).
Sources : UNESCO ; Instituts nationaux officiels de statistique.
▶ Les dépenses militaires (% du PIB) comprennent celles relatives aux forces du maintien de la paix, aux ministères de la défense, aux agences gouvernementales participant à des projets de défense, aux forces paramilitaires, aux activités dans l'espace militaire ; mais également celles engagées pour le personnel civil et militaire : pensions de retraite du personnel, services sociaux, exploitation, maintenance, approvisionnement, recherche et le développement, aide militaire. Sont exclues de ces dépenses : les prestations des vétérans, les frais liés à la démobilisation, et enfin celles relatives à la conversion et/ou destruction des armes.
Source : Stockholm International Peace Research Institute (SIPRI).
▶ Les dépenses en recherche et développement (% du PIB) comprennent : les dépenses (privées et publiques) pour financer des travaux créatifs entrepris systématiquement pour accroître les connaissances, notamment les connaissances relatives à la race humaine, à la culture et à la société ainsi que pour utiliser ces connaissances dans de nouvelles applications. La recherche et le développement regroupe la recherche de base, la recherche appliquée et le développement expérimental.
Sources : UNESCO ; Instituts nationaux officiels de statistique.
▶ Les dépenses en santé (% du PIB) comprennent: la somme des dépenses de santé publiques et privées, englobant la prestation de services de santé (préventifs et curatifs), les activités de planification familiale, les activités ayant trait à la nutrition et l'aide d'urgence réservée à la santé mais il exclut la prestation d'eau et de services d'hygiène.
Sources : Banque mondiale ; OMS ; UNESCO.
Indique la répartition des secteurs d'activité en pourcentage du produit intérieur brut et en pourcentage de la population active :
▶ Le secteur primaire correspond aux divisions 1 à 5 de la Classification internationale type, par industrie, de toutes les branches d'activité économique (CITI) des Nations unies et comprend la foresterie, la chasse et la pêche, ainsi que la culture et l'élevage. À noter que l'INSEE intègre les mines et les gisements au sein du secteur primaire tout en précisant que « la classification n'est pas rigide ; selon le point de vue, les industries extractives peuvent être aussi classées dans le secteur secondaire » (Cf. Secteur primaire, Définitions, INSEE, le 13/10/2016).
▶ Le secteur secondaire regroupe les activités liées à la transformation des matières premières issues du secteur primaire (industrie manufacturière, construction). Aussi, les activités industrielles correspondent aux divisions 10 à 45 de la Classification type pour le commerce international (CITI). Les activités industrielles comprennent la valeur ajoutée dans les mines, la fabrication (divisions 15 à 37 de la CITI), la construction, l'électricité, l'eau et le gaz.
▶ Le secteur tertiaire correspond aux divisions 50 à 99 de la Classification internationale type, par industrie, de toutes les branches d'activité économique (CITI) des Nations unies et comprend le commerce de gros et de détail (dont les hôtels et les restaurants), les transports, et les services gouvernementaux, financiers, professionnels et personnels tels que l’éducation, les soins de santé et les services immobiliers. Sont également inclus les frais de service bancaire imputés, les droits d'importation et toute anomalie statistique constatée par les compilateurs nationaux, ainsi que les anomalies résultant d'un rééchelonnement.
Sources : Banque mondiale (secteurs d'activité en % du PIB) ; The World Factbook, CIA (secteurs d'activité en % de la population active).
« Le taux de chômage, exprimé en pourcentage de la population active, désigne la part de la population active sans emploi mais qui souhaite exercer une activité professionnelle. Ainsi, il s'agit d'une situation socio-économique non volontaire. Les définitions relatives à la population active et au chômage diffèrent selon les États. » [définition : Atlasocio.com]
Sources : Instituts officiels nationaux ; Organisation internationale du Travail ; OCDE.
« Le taux de chômage des moins de 25 ans désigne la part de la population active âgée de 15 à 24 ans sans emploi mais qui souhaite exercer une activité professionnelle. Ainsi, il s'agit d'une situation socio-économique non volontaire. Les définitions relatives à la population active et au chômage diffèrent selon les États. »[définition : Atlasocio.com]
Sources : Instituts officiels nationaux ; Organisation internationale du Travail ; OCDE.
« Le travail à temps partiel désigne un emploi régulier dont la durée du travail est inférieure à la durée légale du travail au sein d'un État donné. La définition du travail à temps partiel diffère donc selon les pays. Le temps partiel peut être mis en place en application d’un accord collectif, sur décision de l’employeur ou à la demande du salarié. » [définition : Atlasocio.com]
Sources : Instituts officiels nationaux ; Organisation internationale du Travail ; OCDE.
L'indice de développement humain (IDH) tente d'évaluer le niveau de développement humain des États du monde selon trois critères majeurs : l'espérance de vie à la naissance, le niveau d'éducation, et le niveau de vie.
Source : Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).
Le Social Progress Index (SPI) ou « indice de progrès social » tente de mesurer le progrès social d'un État donné. La méthodologie du SPI s'articule autour de trois axes : la capacité d'une société à satisfaire les besoins de base de ses citoyens (qualité et accès au système de santé, au logement, à la sécurité etc.), à construire les fondements de leur bien-être sur la durée (en leur donnant accès à l'éducation et à l'information), et à leur donner l'opportunité de s'accomplir.
Source : Social Progress Imperative.
Le Global Human Capital Index ou « indice du capital humain » appréhende la capacité des États à réaliser pleinement le potentiel économique de leurs mains-d'oeuvre respectives. Reposant sur 51 indicateurs, l'indice mesure l'optimalisation de la main-d'oeuvre sur le long terme en évaluant notamment les niveaux de formation, de compétence et d'accessibilité à l'emploi selon cinq tranches d'âge (0-14 ans ; 15-24 ans ; 25-54 ans ; 55-64 ans ; +65 ans).
Source : World Economic Forum.
Le Rights Index ou « indice de Confédération syndicale internationale des droits » (CSI) recense les violations des droits du travail commises par des gouvernements et/ou des employeurs. L'indice CSI repose sur 97 indicateurs issus des Conventions et de la jurisprudence de l'Organisation internationale du Travail (OIT), représentant chacun une violation des droits du travail dans la loi ou dans la pratique.
Source : Confédération syndicale internationale.
Le Corruption Perceptions Index ou indice de perception de la corruption, élaboré à l'aide d'enquêtes réalisées auprès d'hommes d'affaires, d'analystes de risques et d'universitaires, tente d'appréhender le degré de corruption d'un État donné. A noter que seule la corruption dans le secteur public est comptabilisée, soit « l'abus d'une fonction publique à des fins d'enrichissement personnel ».
Source : Transparency International.
« Le coefficient (ou indice) de Gini est un indicateur synthétique mesurant la répartition des revenus entre les individus. Un coefficient de Gini égal à 0 (ou 0 %) exprime une situation d’égalité parfaite (en termes de salaires, de niveaux de vie, etc.), tandis qu'un coefficient de Gini égal à 1 (ou 100 %) exprime une situation inégalitaire maximale, soit l'accaparement des richesses par une seule personne au sein d'une population donnée. » [Définition : Atlasocio.com]
Source : Banque mondiale.
Le taux de pauvreté national est le pourcentage de la population qui vit sous le seuil de pauvreté national. Les estimations nationales sont fondées sur des estimations pondérées en fonction de la population tirées des enquêtes sur les ménages. Les définitions de la pauvreté varient considérablement entre les nations. Par exemple, les pays riches emploient généralement des normes plus généreuses de la pauvreté que les pays pauvres.
Source : Banque mondiale.
L’accès à l'électricité correspond au pourcentage de la population d'un État ou d'un territoire donné disposant d’un accès à l'électricité. Les données sur l’électrification sont récoltées par la Banque mondiale en collaboration avec l'Agence internationale de l’énergie (AIE) et le Programme d’assistance à la gestion du secteur énergétique (ESMAP) auprès de l’industrie, d’enquêtes nationales et de sources internationales.
Source : Banque mondiale / AIE / ESMAP.
L'accès à Internet correspond au pourcentage de la population d'un État donné disposant d’un accès au réseau mondial. Les utilisateurs d'Internet ou internautes désignent des individus qui ont utilisé Internet au cours des 3 derniers mois via un ordinateur, un téléphone portable, un assistant numérique personnel, une console de jeux, une télévision numérique, etc.
Sources : Union internationale des télécommunications ; Banque mondiale.
Indique le nombre de visiteurs étrangers, en vacances ou en voyage d'affaires, au cours d'une année civile et au sein d'un État donné.
Source : UNWTO.
Indique le chiffre d'affaire résultant des dépenses effectuées par les visiteurs étrangers, en vacances ou en voyage d'affaires, au cours d'une année civile et au sein d'un État donné.
Source : UNWTO.
Le Global Hunger Index ou « indice mondial de la faim » – compris entre 0 (absence de famine) et 100 (famine généralisée) – est un outil statistique multidimensionnel utilisé pour décrire l'état de la faim dans un État donné en combinant quatre indicateurs : sous-alimentation ou proportion de personnes sous-alimentées en pourcentage de la population (Source : FAO) ; insuffisance pondérale des enfants de moins de 5 ans (Sources : UNICEF, OMS, Banque mondiale) ; retard de croissance des enfants de moins de 5 ans (Sources : UNICEF, OMS) ; mortalité infantile (Source : ONU).
Source : International Food Policy Research Institute.
Indique le pourcentage de la population d'un État donné utilisant comme source principale d’eau potable l’un des systèmes suivants : approvisionnement en eau potable par canalisation jusque dans le lieu d’habitation, sur le terrain, dans la cour ou dans la cour des voisins ; borne-fontaine ou robinet public ; puit tubulaire ou trou de sonde ; puit creusé protégé ; source protégée ; eau de pluie ; eau en bouteille plus l’une des sources mentionnées ci-dessus comme source secondaire.
Sources : UNICEF, OMS.
Indique le pourcentage de la population d'un État donné utilisant l’une des installations sanitaires (non partagées avec d’autres ménages) suivantes : latrine à chasse d’eau connectée au réseau d’égouts, à une fosse septique ou latrine à fosse ; latrine améliorée à fosse auto-ventilée ; latrine à fosse avec dalle ; fosse couverte ; toilettes à composte.
Sources : UNICEF, OMS.
L'immunisation des enfants est le pourcentage des enfants de 12 à 23 mois qui ont reçu des vaccins avant l'âge de 12 mois. Un enfant est jugé suffisamment immunisé contre la diphtérie, la coqueluche et le tétanos (vaccin DCT) après avoir reçu trois doses de vaccin.
Sources : UNICEF, OMS.
« L'espérance de vie à la naissance (ou à l'âge 0) représente la durée de vie moyenne - autrement dit l'âge moyen au décès - d'une génération fictive soumise aux conditions de mortalité de l'année. Elle caractérise la mortalité indépendamment de la structure par âge » [définition : Insee].
« Nombre moyen d’années qu’un nouveau-né pourrait espérer vivre compte tenu des taux de mortalité selon le sexe et l’âge au moment de sa naissance, pour une année donnée, dans un pays, territoire, ou zone géographique donnée » [définition : OMS].
Source : OMS.
« L'espérance de vie en bonne santé (EVBS) ou espérance de vie sans incapacité (EVSI) désigne le nombre moyen d'années – au sein de l'espérance de vie – qu'une personne peut espérer vivre à la naissance sans être limitée dans les actes de la vie quotidienne par des incapacités temporaires ou permanentes, et ce, dans les conditions médicales, sanitaires et sociales de l'année considérée. » [définition : Atlasocio.com]
Source : OMS.
Les médecins comprennent les généralistes et les spécialistes de la médecine.
Source : OMS.
Les lits d'hôpital comprennent les lits de malades hospitalisés dans les hôpitaux et les centres de réadaptation publics, privés, généraux et spécialisés. Dans la plupart des cas, les lits de soins de courte durée et pour malades chroniques sont inclus.
Source : OMS.
L'indice de couverture des services de santé essentiels, exprimé en pourcentage de la population totale, désigne la couverture moyenne des services essentiels basés sur des interventions traceurs incluant la santé reproductive, maternelle, néonatale et infantile, les maladies infectieuses, les maladies non transmissibles et la capacité et l'accès au service de santé parmi la population générale et la plus défavorisée.
Source : OMS.
« La production nette d'électricité est celle mesurée à la sortie des centrales, c'est-à-dire déduction faite de la consommation des services auxiliaires et des pertes dans les transformateurs des centrales » [définition : Insee]. Les données détaillent les différents types de production électrique d'un État donné.
Sources : AEI ; OCDE ; Observatoire des énergies renouvelables.
L'Environmental Performance Index ou indice de performance environnementale tente d'évaluer, comparer et améliorer l'efficacité des politiques environnementales.
Source : Yale Center for Environmental Law & Policy, Yale University ; Center for International Earth Science Information Network, Columbia University.
L'indice de vulnérabilité environnementale comprend 50 indicateurs répartis selon plusieurs catégories : changement climatique, biodiversité, accès/qualité de l'eau, agriculture et pêche, aspects de la santé humaine, désertification et exposition aux catastrophes naturelles.
Source : Commission du Pacifique Sud pour les géosciences appliquées (PACSU) et Programme des Nations Unies pour l'environnement (UNEP).
« L'hectare global (hag) désigne une surface pondérée au niveau de la productivité, permettant d'appréhender la biocapacité (réserve écologique disponible) et les besoins en biocapacité des activités humaines (empreinte écologique). L'hectare global est l'unité de mesure de la biocapacité, de l'empreinte écologique, et de la balance écologique (déficit/excédent). » [Définition : Atlasocio.com]
« L’empreinte écologique totale, exprimée en hectares globaux par État, mesure l’importance de la demande que la consommation humaine d'un pays impose à la biosphère. » [Définition : Atlasocio.com]
Source : Global Footprint Network.
« L'empreinte écologique mesure la pression anthropique sur les ressources naturelles, soit les surfaces alimentaires disponibles afin de répondre aux besoins d'une population et/ou d'une activité donnée tout en absorbant les déchets générés par les sociétés humaines, compte-tenu des systèmes de gestion et des techniques d'extraction actuels. Cet indicateur, exprimé en hectares globaux par habitant, est calculé en divisant l'empreinte écologique d'une nation par sa population totale. » [Définition : Atlasocio.com]
Source : Global Footprint Network.
« La biocapacité totale désigne la superficie de terres productives disponibles au sein d'un État pour produire des ressources et/ou absorber les déchets de dioxyde de carbone de sa population, compte tenu des pratiques de gestion actuelles. La biocapacité est mesurée en hectares globaux. » [Définition : Atlasocio.com]
Source : Global Footprint Network.
« La capacité biologique (biocapacité) par habitant – exprimée en hectares globaux par habitant – mesure la capacité des écosystèmes d'une région donnée (État, continent, etc.) à produire de la matière biologique (ressources renouvelables) et à absorber les déchets générés par les sociétés humaines, compte-tenu des systèmes de gestion et des techniques d'extraction actuels. » [Définition : Atlasocio.com]
À noter que la « matière biologique utile » est définie comme de la matière biologique utilisée par l'économie. Aussi, ce qui est considéré comme « utile » peut varier d'une année sur l'autre. Par exemple, l'utilisation de la tige et des feuilles du maïs pour produire de l'éthanol ferait que cette tige et ces feuilles deviendraient une matière biologique utile, et ainsi, la biocapacité du maïs en serait accrue.
Source : Global Footprint Network.
« La balance écologique exprime la différence entre la biocapacité et l'empreinte écologique au sein d'une superficie donnée (région, État, continent, etc.). Un déficit écologique survient lorsque l'empreinte écologique de la population est supérieure à la capacité biologique (ou biocapacité) disponible. Inversement, un excédent écologique résulte d'une biocapacité supérieure à l'empreinte écologique liée aux activités humaines. » [Définition : Atlasocio.com]
Source : Global Footprint Network.
Indique les émissions de dioxyde de carbone (CO2) en milliers de tonnes (kt) métriques par État, puis en tonnes (t) métriques par habitant.
Sources : Emission Database for Global Atmospheric Research (EDGAR), Joint Research Centre, European Commission ; Carbon Dioxide Information Analysis Center (CDIAC), Environmental Sciences Division, Oak Ridge National Laboratory, U.S. Department of Energy, USA ; National Inventory Submissions, United Nations Framework Convention on Climate Change.