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À travers le monde, le nombre de citadins vivant dans des bidonvilles dépasse désormais le milliard d’habitants, un chiffre qui, selon les estimations de l’ONU, devrait doubler d’ici l’année 2030.
Quelles ressources minérales sont réellement concernées lorsque l’on évoque les tensions politiques/économiques liées aux terres rares et quel est l’impact de leur exploitation sur l’environnement ?
La baisse des stocks d'ogives n'écarte pas forcément le risque de prolifération nucléaire. Une des raisons pour lesquelles 122 États membres des Nations unies ont approuvé, le 7 juillet 2017, le traité d’interdiction des armes nucléaires.
Le 16 juillet 1945, les États-Unis font exploser Trinity, la toute première bombe atomique. Depuis, plus de 2 000 essais nucléaires ont été réalisés à travers le monde et plusieurs traités liés à leur limitation, puis à leur interdiction, ont été signés.
En raison des tensions politiques et économiques, le débat sémantique s’est installé en Europe : parle-t-on de migrants, de réfugiés, de demandeurs d’asile ou de « déplacés » ?
Passant d'une immigration de colonisation et d'exploration au cours du 19e siècle à une immigration économique à la fin du 20e siècle, la société canadienne semble aujourd'hui tiraillée entre les objectifs économiques et les questions identitaires.
La dernière décennie a été marquée par une révolte populaire à l’encontre des élites politiques et médiatiques, plus que jamais perçues comme déconnectées de la réalité et accusées de ne pas défendre les intérêts des citoyens ordinaires.
Les chefs de gouvernements de la Nouvelle-Zélande et des Fidji semblent déterminés à effacer toute trace de l'Union Jack de leurs drapeaux respectifs. Mais rien ne dit que pour les citoyens, il ne s’agit pas tant de la résurgence d’un passé colonial à la vue de la bannière nationale, que d’une attente certaine dans l’amélioration des conditions de vie.
Depuis le début de la guerre en mars 2011, le conflit syrien compte plus de 380 000 morts – dont 115 000 victimes civiles – en janvier 2020. Environ 12,8 millions de personnes sont en attente d'une aide humanitaire, provoquant une vague sans précédent de réfugiés aux portes de l'Europe.
Le droit à l'autodétermination est pleinement reconnu par le droit international et, en principe, aucun État ne peut s'y opposer. Cependant, certains peuples se heurtent, pour des raisons diverses, à un manque de reconnaissance diplomatique.
La consultation afin de trouver un nouveau drapeau pour la Nouvelle Zélande a été lancée l’an dernier par le premier ministre John Key. Depuis elle rencontre un franc succès, le gouvernement ayant reçu 10 292 propositions.